Pour toujours plus de garanties vis-à-vis de la planète, il nous a paru indispensable d’évaluer scientifiquement l’impact de nos solaires sur les écosystèmes aquatiques. C’est pourquoi nous avons évalué leur biodégradabilité¹ et fait mener des études d’écotoxicité en conditions extrêmes², à la fois en eau de mer, car nous voulions bien sûr connaître l’impact sur l’océan, mais aussi en eau douce car n’oublions pas que les solaires passent aussi dans l’eau quand vous prenez votre douche après l’exposition.
Pour avoir une vue d’ensemble et au plus près de la réalité, ces études ont été réalisées sur un nombre exceptionnel d’espèces puisque nous avons observé pas moins de 7 organismes planctoniques et sédimentaires, d’eau douce et de mer, de niveaux trophiques différents et représentatifs des diverses chaînes alimentaires aquatiques.
Ces études concluent à la non-écotoxicité de nos solaires sur les écosystèmes aquatiques.
¹ Méthode normée en eau douce (OCDE301F).
² En milieu marin : sur un crustacé, Artemia salina (méthode FD ISO 14669), sur une algue marine, Phaeodactylum tricornutum (méthode EN ISO 10253), sur coraux (méthode non normée / étude du blanchissement des boutures et de la rétractation des polypes), sur un crustacé sédimentaire, Corophium (méthode NF EN ISO 16712), sur une bactérie, Vibrio fischeri (méthode NF EN ISO 11348-3). En milieu eau douce : sur daphnie – Daphnia magna (méthode NF EN ISO 6341), sur une algue d’eau douce, Pseudokirchneriella subcapitata (méthode NF EN ISO 8692).